lundi, novembre 10, 2003

Et voilà... je suis ensommeillée, fatiguée, je suis une sorte de Camille bouleversée dans un corps de L... mais comme L., je suis dans cette grande métropole, São Paulo, la ville des pauvres et riches, de la grande varieté culturelle, des plusieurs cafés, discos, etc, etc.... Livia, elle profite le maximum de son séjour, et moi, Camille, je savoure ses découvertes, je suis une partie qui profite de ses experiences, enfin. Le fait c'est que je t'ai connue, M., et si personne ne pourrait suivre comme toujours après une rencontre comme ça, pourquoi moi, je le devrais, je le pourrais? En effet, j'exagère un peu, comme le demande mon caractère trop romantique, tragique ou quoi que ce soit... mais je n'oublierai pas cette rencontre ou peut-être je me suis perdue dans et avec toi, d'une façon complètement plus espirituelle que les gens peuvent imaginer. Mais j' avoue, j'ai eu l'envie et la curiosité de sentir ta peau et enfin, je l'ai sentie et elle est agréâble et elle est une caresse trop tendre... tes yeux, eux, ils sont bouleversants, et voilà c'est pourquoi j'osais te regarder dedans même si célà t'agaçait un peu. Rassure-toi, anyway, car moi, je ne sentais que ce que je sens toujours: que pendant que nous sommes - en quelque façon - ensemble, rien ne peut maculer et détruire le petit et simple monde qu'on a bati rien que pour nous... ce trésor d'amitié si singulaire qui tout permet, c'est à dire, que permet tout ce que nous fait du bien. Et ça, ma chère et attirante amie, c'est du pur bien... je veux être encore ta pétite délice... et tenir tes belles mains dans les miennes...

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