Il faut officiellement récommencer
Après avoir quelques fois alteré le lay-out de mon blog, je suis enfin prête à écrire... mais quoi? Peut-être, écrire mes rêves: je voyais le cercueil à un suicidé, avec l'inscription "pendu". Comme les rêves et toutes ses images s'agissent toujours de nous et nos pensées, je peu conclure que ce pendu répresente l'agonie que je ressens à l'iminance de prendre les décisions les plus importantes de ma vie.
En tournant la page onyrique, je dois dire: Madeleine Gobeil Noël n'est qu'une jeune fille qui fait revivre la passion joyeuse des engagements juvéniles: dans ce cas, l'existencialisme vu chez Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, pas seulement à leur discours mais aussi à leurs peaux et gestes. Confronter la vraie pagaille qui était l'appartement de Sartre avec la logique de ses arguments - même qu'ils soient en part un peu déplacés à présent - est admettre la contradiction humaine. Mais dans ce cas, je ne suis pas contradictoire, moi. La pagaille de mon foyer correspond éxactement au chaos de mon intérieur.
vendredi, octobre 14, 2005
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