vendredi, octobre 14, 2005

Il faut officiellement récommencer

Après avoir quelques fois alteré le lay-out de mon blog, je suis enfin prête à écrire... mais quoi? Peut-être, écrire mes rêves: je voyais le cercueil à un suicidé, avec l'inscription "pendu". Comme les rêves et toutes ses images s'agissent toujours de nous et nos pensées, je peu conclure que ce pendu répresente l'agonie que je ressens à l'iminance de prendre les décisions les plus importantes de ma vie.

En tournant la page onyrique, je dois dire: Madeleine Gobeil Noël n'est qu'une jeune fille qui fait revivre la passion joyeuse des engagements juvéniles: dans ce cas, l'existencialisme vu chez Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, pas seulement à leur discours mais aussi à leurs peaux et gestes. Confronter la vraie pagaille qui était l'appartement de Sartre avec la logique de ses arguments - même qu'ils soient en part un peu déplacés à présent - est admettre la contradiction humaine. Mais dans ce cas, je ne suis pas contradictoire, moi. La pagaille de mon foyer correspond éxactement au chaos de mon intérieur.

Aucun commentaire: